[Dans l'antre de la Liche] La recherche du Phylactere Perdu

Faisant face aux habitants de la cité de Varnhold qui étaient captifs des jarres magiques de la liche, j'essaie de ma voix de couvrir le tumulte de la populace récemment libérer.

"Est-ce que Maegar Varn est parmi vous? Je sais qu'il était le chef de la cité de Varnhold et j'aimerai m'entretenir avec lui pour organiser la fuite de ces ouailles"

Prenant l'elfe nue emmailloté dans la robe de la liche dans mes bras, je commence à descendre les escaliers en direction de la salle de banquet ou les morts sont encore attablé. Tout en déposant délicatement l'elfe sur un des banc je hèle Piotr.

"Hey Piotr, pourrais-tu faire un diagnostic de sa santé? Par contre si elle se réveille demande à Thenlaf de t'épauler car elle ne semble pas parler ni la langue commune, ni une langue elfique récente."

Attendant que Maegar s'il est parmi nous me rejoigne, je continu de distribuer les taches.

"Thenlaft, Ragash, pourriez-vous vous mettre en quête du Phylactère de la liche. Car si mes souvenirs sont bons, même si je suis pas un spécialiste de la nécromancie. Tant que le Phylactère n'est pas détruit. Il y a de forte chance pour que la Liche reconstitue son corps en plus ou moins une semaine."

Je lance le sort message et cible Ragash, Thenlaf, Piotr et Van.

Je murmure alors en direction de Ragash : "Essaie de garder un oeil sur Akiros, on ne sait jamais comment il pourrait réagir lors de la découverte du Phylactère".

Face au nombre plutôt important de personnes à accompagner en dehors de ces lieux, je ne peux qu'être inquiet face au récent problème concernant Akiros.

J'écoute Cyrian donner les ordres tout en gardant un oeil discret sur mon ami archer. 
En entendant mon nom, mon regard alla se porter sur Cyrian. J'acquiesce de la tête à sa requête et me tourne vers Thenlaf.


Thenlaf, suis moi on va commencer à fouiller les lieux, il faut absolument retrouver ce phylactère.

Je me tourne vers Akiros afin de voir s'il me suit pour cette tâche.

Au moment où je m'apprête à m'avancer pour commencer les recherches, j'écoute le message de Cyrian et lui murmura : Je m'en occupe.

Je me retourne afin de voir si Thenlaf et Akiros me suivent.

Alors que les survivants se rassemblent dans la salle des banquets, se mêlent acclamations de joie, pleurs et cris d'horreur. 

"Maegar !!! Non !!! Juliana !!! Sacha, tu es vivante, que soit béni les Dieux !!! Pourquoi toi !!! Machandar !!!! Merci à vous de nous avoir sauvé !!! Oh par Pharasma, pas toi, Micha !!! Que les Dieux nous viennent en aide !!! Gloire à nos sauveurs !!!"

Délaissant les habitants de Varnhold, le regard des aventuriers se porte sur les trois salles découvertes derrière le trône d'ossement.

La pièce centrale, réserve des amphores contenant les prisonniers, ressemble à un champ de bataille, le sol, rendu glissant par le contenu des jarres, semble recouvert de sang nimbant les débris de poterie gisant comme des cadavres. Sur les étagères sont encore visible des amphores prêtes à être utilisées dans d'obscures rituels. On peut distinguer au fond de la pièce une zone aménagée d'un confortable fauteuil et d'un support en argent, pouvant accueillir une jarre, disposé au centre d'un cercle magique au runes miroitantes.

La porte de gauche s'ouvre sur une grande bibliothèque. Ses rayons sont emplis de parchemins, codex et ouvrages aux couvertures ouvragées. La plupart sont dans un piètre état, leur contenu dégradé par le temps et les nuisibles. De nombreux lutrins sont répartis dans la salle, supportant, pour certain, le poids de gros volumes en assez bon état. Sur le sol plusieurs ouvrages sont visibles comme si, de rage, on les avait balayés des lutrins et laisser gisant à terre. La taille des différents codex rends leur maniement plutôt difficile et la langue dans laquelle ils sont écrits complètement incompréhensible. A fond de la pièce un grand coffre métallique, luisant de magie, trône tel le gardien silencieux des lieux.

La dernière porte donne l'accès à un grand laboratoire, contenant des appareils destinées à l'alchimie, la forge, l'écriture, la joaillerie et d'autres à l'usage inconnu de prime abord. La pièce semble avoir été récemment utilisé, les ateliers nettoyés et approvisionnés. Dans des alcôves creusées à même la roche, se trouve différents matériaux brut destinés à être utilisés par les divers ateliers. La forge semble avoir été la zone d'activité la plus utilisée.

Comprenant que le dirigeant de Varnhold fait parti des membres de la tablé des macchabées. Je me tourne vers les survivants.

"Bien je viens de comprendre que le dirigeant de votre cité fait parti de ceux qui n'ont pas eux la chance de survivre."

Tout en parlant, je désigne les cadavres.

"Il va falloir que je m'entretienne avec celui qui est le plus apte à m'aider dans cette situation de crise pour qu'on organise votre évacuation."

Tout en parlant, je me refais le plan des lieux dans ma tête.

"Il y a plusieurs étapes à prendre en compte. La première déjà c'est de s'organiser correctement pour permettre à soixante personne de quitter cette pièce sans encombre."


"L'antre de la liche est plutôt atypique et pleine de pièges, le point positif, c'est que nous savons comment les contrecarrés. Par contre, il y a un 'mais', notre nombre risques d'être un gros problème...."

Une femme à la forte carrure s'avance vers Cyrian. Malgré ses traits marqués d'avoir trop pleuré elle dégage une certaine aura d’autorité. 

"Je suis Magraine, la femme de Maegar. Je tenais à vous remercier de nous avoir secouru et d'avoir éliminé le monstre qui nous retenais enfermé. Tous les habitants me connaissent, je vais me charger de les calmer et de les rassurer. Sommes nous en sécurité actuellement ou d'autres menaces pèsent encore sur nous ?"

Jaugeant rapidement la femme en face de moi, j'incline légèrement la tête en signe d'assentiment.

"Bien Magraine, femme de feu Maegar. Je me présente Cyrian de Lastwall, Conte régnant de New Lestack et protecteur du Conté naissant de Bretonia.
Vos gens sont pour le moment en sécurité. Nous avons nettoyé l'antre de la Liche. Par contre, il reste quelques zones de danger, de part l'environnement et les pièges que nous n'avons pas désamorcer. Mais nous savons comment les contourner."

Marquant une pause. Je regarde tout autour de moi, puis repose mes yeux sur la femme.

"Pour le moment, nous devons trouver le phylactère de la Liche, ou autrement ne seront de nouveau en danger. Une fois trouver nous réfléchirons à la manière d'agir pour quitter cette salle qui se trouve en dans les hauteurs du donjons de Vordakai."

Alors que Piotr, assisté de Thenlaf, commence à étudier l'elfe inconsciente il remarque que son corps semble recouvert d'une espèce de gelée blanchâtre qui commence à se dissiper au contact de l'air, laissant apparaître la peau foncée de la victime. En prenant un peu de recul, la peau mate et les cheveux très clair, le corps ressemble à ces elfes légendaires que sont les elfes noirs. Sur une partie de son corps de nombreux tatouages tribaux ou d'aspect runique s'entrelacent avec d'anciennes cicatrices qui ornent généralement les adeptes des arts guerriers.

Après ce bref moment d'auscultation, Piotr annonce qu'elle ne semble pas avoir de lésions externe mais n'a aucune idée de la provenance de son inconscience et que les essais pour la sortir de sa torpeur n'ont rien donnés.

Alors que chacun vaque à ses occupations, Akiros s'est rapproché des survivant et essaye de les rassurer, aidant les indigents et le jeunes enfants. Il leur procure soins et réconfort suite à la dure épreuve qu'ils ont vécus. Il commence aussi à descendre les cadavres attablés pour permettre à leur famille de s'occuper de leurs morts.

Personne ne semble s'émouvoir de la présence de son œil enflammé.

Malgré les douleurs du récent combat, j'ai senti la mort de nouveau me frôler de très près, je reste au côté de l'elfe après que le diagnostique négatif de Piotr soit tombé.

J’affûte mon esprit, je laisse le soin aux autres la recherche du phylactère, pour discuter avec elle.
Je me remémore ma plongée où j'avais vu toutes ces écritures antiques et je commence à dire dans ce qui me semble être la langue ancienne des elfes :

"Bonjour"

L'elfe garde le silence. Après un moment de réflexion, Thenlaf pense que son inconscience doit jouer sur sa capacité à parler.

L'Androsphynx Harotep semble totalement désorienté, il titube et se met à l'écart du reste de la troupe. Quand Van va le questionner, ses réponses sont difficiles et peu cohérentes.

"L’œil voit tout ! Grande Pyramide ! Non... partez !!! Pas la douleur !!! Du sable sur la mer des dunes !! Partez... je vous en prie !!! Je ne sais pas !!! Plus de 10000 hommes !!! Magie des esprits et du feu !!! Les grands scarabées !!! Arrêtez la douleur !!!! Arrêtez la douleur !!!! Arrêtez la douleur !!!! Arrêtez la douleur !!!! Arrêtez la douleur !!!!"

Il continue de répéter inlassablement cette phrase prostré dans un coin de la pièce.

Regardant Thenlaf agir envers l'elfe inconsciente, je secoue la tête d'un air desesperé. Dire que parfois, on lui confie nos vies. Cette pensée me glace le sang, tout en me déplaçant vers l'escalier menant aux atelier de la liche, je réprime un frisson me parcourant le corps.

Montant les escaliers, je rejoins Ragash.

"Je te propose que tu cherches dans l'atelier, pour ma part je vais fouiller dans la bibliothèque".

Entrant dans la bibliothèque, je regarde la source de savoir que représente tous ses livre qui s'étiole avec le temps.

"Bien par où commencer..."

Je me déplace dans la bibliothèque prenant garde de ne pas trop toucher les livres, évitant ainsi de détruire ou d'abimer la source du savoir de Vordakai.

[jet de perception pour voir si je dénote un détail particulier] Perception +4

Le membre 'Cyrian' a effectué l'action suivante : Lanceur de Dés

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'd20' :

En entrant dans la bibliothèque de Vordekaï, Cyrian commence à inspecter les ouvrages des étagères et ceux gisant au sol. La majorité des ouvrages sont dans un état de décrépitude avancé, seuls ceux au sol semblent en bon état. En approfondissant un peu son étude, Cyrian s’aperçoit que le contenu des livres est dans une ancienne langue, similaire à celle que Thenlaf avait trouvé dans le lac. Les codex en bon état, au sol et sur les lutrins, sont couverts de symboles magiques. 
Lançant le sort Lecture de la Magie, il s'avère que les livres sont en fait des grimoires contenant des sorts, mais il est difficile de décrypter la teneur de ces sortilèges, la plupart des mots étant en langue ancienne.
Au fond de la pièce trône un grand coffre de métal, légèrement lumineux, dont le contenu a été retiré. Il est vide.

Tout en parcourant les escaliers, j'entendis des pas derrière moi, je me retourna et vis Cyrian s'approcher et s'adresser à moi.
A la suite de sa suggestion j'acquiesce de la tête et commença à me diriger vers l'atelier. A mon entrée, je commence à parcourir du regard la pièce afin de déterminer un ordre pour une recherche efficace afin de trouver le phylactère.


Jet de perception : +7

Le membre 'Ragash' a effectué l'action suivante : Lanceur de Dés

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'd20' :

Ragash pénètre dans le laboratoire, essayant de trouver où aurait pu être dissimulé le phylactère. Arpentant la pièce, l'usage de nombreux outils et ateliers semblent bien obscure au regard de Ragash. Se rapprochant de la forge, zone plus en adéquation que le reste, le guerrier repère une dizaine d'épées gigantesques en acier vivant. Sur la forge gît un anneau entièrement gravé de runes indéchiffrables. Des lingots de diverses couleurs sont disposés dans des alcôves à proximité de la forge. Bien qu'ayant cherché dans tout le laboratoires, point de phylactère en vue.

Tout en parcourant la pièce et m'arrêtant devant les différentes armes, je marqua un arrêt ensuite devant cet anneau portant des runes gravées dessus. Je m'imagine que cet anneau doit probablement être magique mais je ne peux en être certain sans demander à quelqu'un qui a des affinités avec tout ce qui est magique.

Je fini de fouiller la pièce à la recherche du phylactère mais en vain.

Je me concentra afin de communiquer avec Cyrian qui doit être dans la bibliothèque.

Cyrian, j'ai un anneau portant des runes que je n'arrive pas à déchiffrer dans l'atelier, ainsi que des armes et des lingots. Il faudrai que tu viennes voir quand tu auras fini de ton côté.

Je continua des fouiller la pièce et d'examiner les armes et les lingots plus attentivement en attendant Cyrian.

Attendant le message murmurer de Ragash, j’acquiesce machinalement comme s'il pouvait me voir. Prenant conscience que je suis seul dans la salle de la bibliothèque, Je marmonne une réponse.

"J'arrive, dès que j'ai fini de chercher dans la zone de la bibliothèque."

Tout en envoyant mon message, je me dirige prudemment vers le coffre légèrement lumineux.
Je commence à incanter une détection de la magie, bien qu'en mon fort intérieur, je me doute que le coffre à une essence magique.

[HJ] Sur la détection de la magie, je vais tenter de chercher les auras magiques résiduelles d'objets qui auraient pu se trouver à l'intérieur. Et en dernier lieu étudier la magie du coffre, si elle en a une. [/HJ]

L'incantation fait miroiter l'air autour de Cyrian. Le coffre, les murs et certains ouvrages de la pièce se nimbent d'un halo magique. Les couleurs des auras sont assez similaires et correspondent à ce que les aventuriers avaient identifier sur les murs, une magie permettant de protéger les objets du passage du temps.
En se concentrant sur le coffre, Cyrian identifie de faibles auras semblant suinter de son pourtour. En l'examinant plus attentivement, des traces de frottement sont visibles sur le sol dallé, comme si le coffre avait été déplacé à plusieurs reprises.
Le coffre est massif et son poids semble trop important pour être déplacé par la seule force de Cyrian.

Observant le coffre et estimant son poids potentiel, je suis bien conscient que mes petits bras n'y pourront pas grand chose.

Murmurant un message pour Ragash.

"Ragash amène toi, je vais avoir besoin de la puissance de tes bras pour bouger un coffre..."

En attendant l'arrivée de Ragash, je regroupe les livres qui sont encore auréolés de magie.

Tout en parcourant la pièce dans l'attente de Cyrian, je m'arrêta lorsque celui-ci me murmura de le rejoindre.
Je quittai la pièce en me disant que j'y retournerai en compagnie de Cyrian lorsque l'on aura fini dans la bibliothèque.

J'entra dans la pièce et vit Cyrian devant un coffre et m'approcha pour bouger le coffre, je m'accroupis et rassembla toutes mes forces afin de déplacer celui-ci.

Je me demande bien ce qu'il y a dans ce coffre pour qu'il pèse aussi lourd !

Cyrian commence à empiler les codex sur lesquels une aura magique avait été perçue. Les ouvrages sont volumineux et assez lourd, la tâche s'avère éreintante. 
Dès l'arrivée de Ragash, les deux hommes s’attellent à déplacer le coffre volumineux. La force cumulée de Cyrian et Ragash permet de faire glisser le coffre, dévoilant une volée de marche s'enfonçant sous terre. La lumière de Cyrian dévoile l’existence d'une grande pièce au bas de l'escalier.